Nom: Stander Prénom: Jake Age: 19 ans Pouvoir et/ou Armes: Pouvoir du silence. Il peut arrêter tous les sons imaginables. Il peut même empêche les humains de penser, ceux-ci deviennent comme des végétaux. Seuls leurs réflexes peuvent les sauver. S'il essai d’arrêter son pouvoir sur une volonté ou un dieu, celle-ci sera seulement ralentit (il pensera plus lentement). Jake a un mini robot volant comme animal de compagnie, il permet de créer d’enregistrer tous les sons. Ce robot est fait pour durer, il est presque indestructible. Jake possède des disques tranchant. Titre: Volonté de rang 2 / Le requin   Groupe: Volonté Métier: Chef du groupe antigangs Thème musical:  Cliquez!

JE SUIS CE QUE JE SUIS ...

Jake possède deux personnalités, celle du jour et celle de la nuit. Le jour, il n’est pas très sociable et préfère rester seul. La nuit, il devient un jeune homme très sociable et populaire. Il adore se battre et il défend toujours ses amis. Il est très protecteur. Il est aussi très protecteur envers Mallia. Il sacrifierait sa vie pour elle. Il adore la musique et aime faire la fête. La musique peut le rendre facilement en transe, mais elle lui rappelle aussi Mallia. Il déteste dormir.

Jake est un homme grand ayant des cheveux blonds raides et les yeux rouges. Il s’habille généralement en noir avec un soupçon de doré. Puisqu’il adore la musique, il possède des écouteurs qu’il porte la majorité du temps, ceux-ci n’ont pas besoin d’électricité.  Il ne sait pas trop comment, mais ses écouteurs fonction 99% du temps. C’était comme si quelqu’un d’autre décidait à quel moment il s’arrêtait. Il n’est pas obligé de les porter, mais ceux-ci lui rappel son ancienne vie et Mallia. Il possède une lourde chaîne à son cou, c’est le seul objet qu’il a de ses parents. Il a fugué lorsqu’il était jeune et ne les as plus jamais revu.

VOICI MON HISTOIRE ...

Je n’écoutais pas le professeur. À quoi bon? Ils ne disaient rien d’intéressant et pour les examens, toute la matière à étudier était dans les livres. J’avais mes écouteurs sur ma tête, les professeurs étaient habitués et ne voulaient pas me dirent de les enlevés. Ils ont peur de moi. J’étais le meilleur la classe, mais aussi le rejet. Personne ne me parlait et j’aimais être seul. En fait, j’adorais le silence et la musique. Plusieurs avaient peur de moi puisque j’avais les yeux rouges. J’étais différent et eux ne l’acceptaient tout simplement pas. J’étais assis au fond de la classe, enfaite, je suis assis au fond de chacune de mes classe. C’est le moyen que le directeur à trouver pour que je fasse le moins peur possible aux professeurs. Tout cela était si ridicule… J’observais l’horloge avec fascination. Ça allait bientôt sonné. J’aurais tant aimé que ce soit ma dernière période, mais j’étais en retenu. La cloche sonna, je me dépêchai d’aller vers mon cahier. Je pris mon sac et alla en classe de retenue. Je ne fessais jamais mes devoirs, c’était inutile, j’avais des 95% et plus partout. Ma mère est morte lors de ma naissance et mon père a fait une crise cardiaque en voyant son fils avec des yeux rouges. J’allais à l’orphelinat où tous les enfants avaient peur de moi et parlaient dans mon dos. Le soir, je me sauvais par la fenêtre et j’allais fêter. Je fessais cela depuis l’âge de six ans. La nuit, j’étais populaire et tout le monde m’aimais. J’avais une sœur jumelle, mais celle-ci me détestait. Je la voyais parfois lors de certaine fête. Elle n’allait pas au même orphelinat que moi.

J’étais le premier arrivé dans la classe de retenue, j’allai m’asseoir au fond de la classe les écouteurs sur les oreilles. Bientôt, deux autres garçons arrivèrent, ils allèrent s’asseoir le plus loin possible de moi. Je pensais que tout le monde était arrivé, lorsqu’une jeune fille entra. Elle était magnifique. Dès que je l’ai vue, je sus que c’était la femme de ma vie. Elle possédait de long cheveux bouclés, des yeux roses, une fine taille, un sourire charmeur et semblait si douce. Elle s’excusa au professeur d’être en retard sous prétexte qu’elle ne trouvait pas le local. Elle alla ensuite s’asseoir au fond de la classe à côté de mon bureau. Ce n’était pas possible! Les deux garçons la regardaient comme si elle était folle. Moi, je n’en revenais pas, personne ne s’assoyait à côté de moi, jamais. Elle ne devait pas m’avoir vue. Je me mis à fixer la fenêtre, je ne voulais pas qu’elle voit mes yeux. Après seulement quelques minutes, je n’en pouvais plus, je devais la regarder. Je souris en la voyant, tout comme moi elle portait des écouteurs en classe. Le professeur ne les voyait pas. Elle fessait un devoir de français. Beurk! Comment pouvait-elle travailler? Sur son étui, était marqué son nom; Mallia. C’était si beau comme nom. Elle tourna la tête vers moi et me sourit. Elle ne sembla même pas remarquée que j’étais différent. Bien vite, la retenue finie. Mallia se dépêcha de s’en aller. Je voulais lui parlé, je l’ai suivi à l’extérieur.

Lorsque je fus à l’extérieur, la réalité me frappa en pleine figure. Mallia était entrain d’embrasser le champion de football. J’avais le goût de vomir! Mon cœur tambourinait dans ma poitrine et la chanson ‘‘Monster’’ de Skillet criait dans mes oreilles. Je n’avais qu’une seule envie; frapper son amoureux. Habituellement je n’aimais pas me battre, mais c’était parce que je n’avais qu’à me comporter comme un monstre pour qu’ils aillent peur de moi et qu’ils se sauvent. En ce moment, je ne voulais pas me comporter comme un monstre devant Mallia et je ne croyais pas que faire peur à son amoureux soient la solution. Je restais donc là, à l’ombre sans bouger à les regarder parler. Les deux garçons qui étaient en retenus passèrent devant moi sans me voir. Tout à coup, l’amoureux de Mallia lui prit le bras et commença à lui crier dessus. J’étais en feu et Mallia pleurait. Elle lui disait d’arrêter, mais il continuait. Je n’en pouvais plus, laissant mon sac à dos à terre, je me mis à courir vers eux. Je ne savais pas exactement ce que je fessais, je n’avais qu’une idée en tête; lui cassé sa gueule d’ange. À peine m’étais-je approcher qu’il me remarqua. Il n’était pas le capitaine de football pour rien, il se mit à courir vers moi et me plaqua au sol. J’étais écraser sous sa masse de géant, mes poumons ne semblaient plus fonctionner et je saignais derrière la tête. Je m’en fichais je voulais aider Mallia et pour l’instant, tout ce que je fessais c’était me ridiculisé. Je lui donnai un coup de front, il ne sembla pas sonné longtemps. Il me leva par la gorge, m’accotant sur sa voiture. Ce n’était pas la première fois qu’on me fessait cela. Facilement, je me sortis de sa poigne et le frappa en plein visage. Il tomba à terre inconscient. J’étais content de moi. Mallia me fixait, après quelques secondes, elle me remercia puis se jeta dans mes bras en pleurant. C’était la première fois que quelqu’un se jetait dans mes bras.

Je la reconduisis chez elle à pied. Juste avant de rentrer chez elle, elle se tourna vers moi et m’embrassa. C’était si merveilleux… Suite à cela, elle m’expliqua que je l’avais sauvé la journée de son anniversaire. Je voulais la rendre heureuse. Je lui demandais si elle voulait être ma femme. Elle se mit à rire et accepta. Je souriais de toutes mes dents. Je n’aurais jamais imaginé qu’un jour une personne voudrait sortir avec moi. Depuis cette journée, ma vie changea complètement. Maintenant, j’adorais ma vie. Mallia était à la fois comme moi et à la fois le contraire de moi. Tout comme moi, elle raffolait de la musique et détestait dormir, mais elle était une fille populaire que tout le monde aimait. Elle était très sociable. C’est moi qui la conduisis à sa première fête. Dans une boîte pour être plus précis. Elle avait adoré. Je m’entendais si bien avec elle… Elle m’embrassait et me collait. À ses côté, je me sentais normal et apprécié. Chose qui ne m’était jamais arrivé jusqu’à lors.

Huit ans plus tard, j’invitais Mallia à une boîte pour sa fête. Ses parents lui avait interdit, mais elle avait réussi à les échappé. Je lui avais fait promettre de ne plus boire, elle avait déjà trop bu. Pour ma part, j’étais le conducteur, je n’avais donc pas touché à un seul verre. La sécurité de Mallia était en jeu et je fessais tout pour la protégé. Je savais que j’étais trop protecteur, mais c’était plus fort que moi. Je ne voulais pas la perdre. Mallia dansait si bien, toutes les filles l’enviaient. J’étais si chanceux…  Un homme commença à s’approcher de ma douce, suivant mon comportement habituel, j’embrassai Mallia en pleine bouche. C’était parfait, comme toujours. Je l’aimais tant. Je savais que l’homme était partit, il le fessait tous. Sinon, je pouvais leur montrer mes yeux. Mallia adorait mes yeux, elle disait que c’était ‘‘sexy’’.

Un cri se fit entendre, puis tout le monde se dirigea vers la sortie. C’était trop dangereux de sortirent par là. Les dieux nous tueraient tous en un claquement de doigt. J’amenai donc Mallia au deuxième étage et je la fis sortir par la fenêtre. La prenant par la main, je l’obligeai à me suivre au travers des voitures. Elle avait de la difficulté à suivre. J’entendis un bruit sourd puis Mallia et moi fument projetés dans les airs. Je fis en sorte que Mallia atterrisse sous moi. Mon dos fût égratigné sous l'asphalte. Ignorant la douleur, je voulus repartir à la course, mais Mallia ne pouvait plus bouger. Elle semblait sous le choc. Je la pris donc sur mon dos et recommença à courir.

Après quelques minutes, un homme se téléporta devant nous. Je m’arrêtai brusquement. Il se mit à rire et le foudre tomba. Ce devait être le dieu de la météo ou un truc dans le genre.  D’un coup, la pluie commença à tomber à grande vitesse. Je reposai Mallia sur le sol et me mis devant elle pour la protéger. Je savais que cela ne changerais pas grand-chose, mais je ferais tout pour elle. Je demandai au dieu de me tuer, mais de la laisser en vie. Mallia commença à hurler un non. Elle pleurait aussi… Elle était si forte…

Je me tournai vers elle en souriant, elle était si belle. Une mèche de cheveux lui cachait son œil. Du bout de mon doigt je l’éloignais. J’avais complétement oublié le dieu. Si je devais mourir, je voulais que ce soit en embrassant Mallia. Je lui dis trois choses, la première de ne pas pleurer, la deuxième que je m’excusais de ne pas pouvoir la sauver et la dernière, que je l’aimerais toujours. Je l’embrassais tout doucement. Je sentis ses lèvres si douces, puis tout fût noir. Un éclair nous avait percutés.

Lorsque que je rouvris les yeux, j’étais dans un nouveau monde. J’étais la volonté du silence. J’appris bien vite que j’avais apparus dans un quartier pauvre, plus précisément le quartier Ouest. Le jour je me cachais dans un endroit calme pour être seul, mais la nuit je sauvais des gens innocent. Eh bien oui, dans ce quartier, il y avait plusieurs gangs qui blessaient et tuaient. À l’aide de mes amis qui comme moi voulaient protéger la ville, nous avons créé les antigangs. Notre but ? Détruire toutes les gangs et protéger les gens. Je m’occupe du secteur trois, les ‘‘Dent de la mer’’. J’étais le chef. Il y avait aussi les ‘‘Green’’ et les ‘‘Loup’’. Bien vite, on commença à m’appeler ‘‘le requin’’. Les autres chefs se fessaient appeler ‘‘le Grand’’ et ‘‘l’alpha’’. J’espère retrouver Mallia un jour, même si je sais que cela est presque impossible. Je n’ai jamais arrêté d’espérer.

Prénom/Pseudo: AT
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